#13 Barbara Delesalle Brabant : Le collaborateur, un client comme les autres ? (Tape à l’oeil)
traduit automatiquement depuis le français
Dans ce nouvel épisode, Barbara Delesalle Brabant, nous éclaire sur le principe de symétrie des intentions chez Tape à l’oeil (TAO). Une entreprise qui évolue avec la société, les attentes de ses clients et celles de ses collaborateurs.
Barbara Delesalle Brabant souligne que chez Tape à l’oeil l’attention portée aux uns doit être la même que celle portée aux autres. Cela concerne la marque et son client, aussi bien que l’employeur et son collaborateur.
L’invité du podcast Culture d’entreprise
Diplômé de l’université Polytechniques Hauts-de-France ainsi que de l’ISCOM, Barbara Delesalle Brabant rejoint en Tape à l’oeil en 1997. À l’époque, elle intègre le groupe en tant que responsable de magasins. Au fils du temps elle devient animatrice régionale, puis chef de projet formation, avant d’entrer en poste comme responsable merchandising en 2004.
À partir de 2007, elle prend en charge de la communication interne de l’entreprise. Pour finalement être nommée, deux ans plus tard, Directrice des Ressources Humaines ainsi que Business Partner de Tape à l’oeil.
« Ta différence est ta force. C’est un vrai moteur individuel de s’assumer et d’être responsable de soi, de sa singularité.»
Alors qu’elle choisis le premier cahier de texte de sa fille, Barbara lis ces mots inscrits sur l’une des couvertures : Ta différence est ta force. Une phrase pleine de sens, qui résonne en elle aujourd’hui encore. « Dans une carrière professionnelle, c’est toi qui drives et décides de profiter de ce que l’environnement met sur ta route…et nous sommes tous singuliers. »
Selon Barbara, la culture d’entreprise de Tape à l’oeil doit s’adapter au monde qui l’entoure comme le fait la mode. Néanmoins, un excès de disruption vis-à-vis de la culture d’une entreprise peut nuire à son ADN : « Notre culture d’entreprise est basée sur des valeurs historiques, des fondamentaux que l’on ne renie pas. Être commerçant, avoir une logique de performance et d’engagement des équipes. On cherche des personnes passionnées pas leur job, même si les générations ont toutes un regard différent sur le travail, je pense que cela reste un point important.»
« Notre mission, c’est d’aider chaque collaborateur à libérer son super-pouvoir »
Cette idée de symétrie des intentions née en 2007 lorsque TAO décide de réécrire sa vision stratégique de l’entreprise.
« À ce moment là, on met en place un processus de vision partagée. Et deux fortes attentes remontent à nous : la satisfaction client et l’attention portée aux collaborateurs. On remarque alors que les métiers de Ressources Humaines et de marketing sont les mêmes métiers, à la différence que nos clients de sont pas les même.»
La RH peut donc s’inspirer de ce que fait le marketing pour parler a ses collaborateurs, et le marketing peut prendre exemple sur la RH pour aller vers ses clients.
L’univers textile amène nécessairement à une réflexion sur l’environnement et le collaborateur. Cela implique une réflexion sur les partenaires à l’étranger : « Chez TAO on a besoin d’aller contrôler les conditions de travail, on ne le fait pas uniquement dans une logique de protection, mais dans une logique de transformation. »
Au travers d’audits, réalisés par leur partenaire ICS, l’entreprise réalise une évaluation de ses partenaires afin de se séparer des éventuels mauvais élèves.
